Bonjour Fabrice.
Bonjour montagnes (full size)
En rouge, Fabrice. En blanc, le flanc gauche du Grand Col, tout en haut du domaine des Arcs. Entre les deux, 300 mètres de dénivelé bien raide. Je frémis d’impatiente.
Souvent, on croise en soirée des illuminés de la poudreuse (la vraie) parler du trip snowboard : Ride, Hors Piste, Carre, Jump, Freeride, Puff et autres Backcountry. Eh bien Tout ça, c’est vrai.
Le snowboard, je l’avais presque oublié (j’ai découvert la chose il y a 5 ans, sans récidive depuis cette semaine), est une chose formidable, une sensation absolument dantesque. Littéralement voler sur de la poudreuse, faire des courbes immmmennnnses, se vautrer en riant (bon, se relever en pleurant parce qu’on est pris dedans), sentir le vent et le soleil taper aussi fort l’un que l’autre, pique niquer sur un rocher, aller au bord de la rupture (dans mon cas : faire un tout shuss à plat).
Et puis, se lever tôt, se coucher tôt, manger beaucoup, se dépenser beaucoup. Une vraie remise en forme qui ne m’a pas du tout donné envie de me perdre dans les orgies nocturnes des Arcs on The Rocks pour lesquels nous étions également venus (Nadir, Haron, Sven et Lola auront eux fait honneur à leur réputation de stakhanovistes de la nuit).
A quoi bon se terrer dans une boîte à la parisienne avec des parisiens au son de DJ parisiens quand on est au pied de tant de bonheur ?
De retour donc et un peu perdu : il faut reprendre le boulot et son rythme de geek après une semaine sans n’avoir jamais consulté le net une seule fois (j’ai failli craquer, heureusement que Robert n’arrivait pas à chopper le signal du Hot Spot wifi Orange) o/
Je ne poste pas d’autres photos car elles n’ont aucun intérêt pour qui n’était pas sur place (paysages, délires de chambrées et autres joyeusetés inversement relous à matter pour autrui dans une soirée diapos).
Bon. Allez, si, une dernière.
(Surprise, ce n’est pas – encore – moi)
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