Dernier des trois jours – que c’est court – avant de rentrer de New York (je vous en parlais ici, je vous en reparle bient?t),

Nous nous laissons porter dans la ville avec Jules. Apr?s avoir rejoint Ma?a pour d?jeuner chez des amis sur un rooftop un peu fou,

nous sommes all?s nous poser ? Central Park, juste pour se profiter d’une vue et d’un calme. Pas loin, des filles pratiquent le hula hoop :

Ma?a est all?e leur demander une initiation et nous avons fini par pique niquer avec elles.

Elles sont un groupe de copines de Long Island qui se r?unit chaque ann?e pour cette c?r?monie :

1. tu bois un cocktail maison cach? dans un sac en papier craft,

2. tu vas faire une s?ance de hula hoop.

R?p?ter l’op?ration. Dance music qui tape dans les enceintes sans fil, ?change de Snapchats / Instagram et tr?s bonne ambiance.

En nous dirigeant vers Penn Station pour prendre mon train vers l’a?roport de Newark, nous avons pris un verre avec un ami parisien en plein chagrin d’amour New-Yorkais. Le deuxi?me cas en deux ans, il doit y avoir une mal?diction chez mes potes.

Il part la rejoindre pour une ultime discussion, nous partons ? ce magasin de musique que Jules a r?p?r? pour un dernier d?tour avant de partir (je vous ai dit que c’?tait tr?s frustrant, de rester 3 jours ? New York ?)

Entre les deux parties du magasin, deux enceintes, huit chaises et un panneau : “Open Scene”.

Un quinquag?naire assure doucement en country, on dirait qu’il joue juste pour le plaisir. Puis, pendant que j’inspecte un petit Ableton Push, j’entends un air qui me pla?t. Je m’approche et tombe sur cette chanteuse, je filme :

Pure m?lodie de bonne pop, rythme ?trange mais pas artificiel, tout le monde tombe sous le charme. Trois chansons, des applaudissements des 8 chaises et de plusieurs endroits du magasin. Je demande son nom ? l’artiste : Tracy Thorne.

J’ai retenu et je repars de New York avec frustration, mais aussi de chouettes rencontres.