Seul au bureau, je termine la journée avec ce questionnaire refilé par l’ami (des chats, mais si) Cib via son chouette blog.

Alors les cocos, ya quoi au menu aujourd’hui ? Sept métiers que j’aurais voulu faire mais que non ? Easy. Orteils in the nose. Routine. BlindRaiseAllIn direct. Hop.

1. Pilote d’avion ET moine bouddhiste

– Car petit, j’étais très silencieux, calme et observait tout le monde, quand mon frère et ma soeur étaient des tornades. Mon défunt grand père m’a alors dit que je serais moine bouddhiste. Ce à quoi je lui ai rétorqué que je voulais être pilote d’avion. Il m’a dit que ce n’était pas contradictoire et je suis tombé sur cul, un peu fier quand même. Prier en pilotant. Wouah.

– Mais plus l’âge passait et moins j’étais “zen“. Et je suis un peu myope. Et j’ai plein de cheveux. Et je n’aime plus prendre l’avion (RyanAir + EasyJet, tu parles de bonnes expériences). Cher Ông N?i, j’espère que tu es quand même un peu fier de moi, de là où tu me regardes…
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2. Coach personnel

– Car je passe plein de temps à écouter et donner des conseils à plein de gens et j’y prends un plaisir sincère. Pourquoi ne pas en faire un métier avec véritable suivi etc. ?

– Mais ce sont souvent les bottiers les plus mal chaussés alors bon, la paille du voisin dans la poutre de mon oeil, on verra quand je serais au top de mon auto épanouissement de moi-même.
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3. Gigolo

– Car je l’ai déjà raconté et encore raconté, mais vraiment, je voulais faire ce métier un peu immoral, irresponsable et tellement moderne.

– Mais j’ai vu le brillant Mauvaise Passe et voilà, c’est passé dans ma tête. Deuil national chez les CEO ménopausées et les belles épouses délaissées, selon CNN.
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4. Chanteur

– Car j’aime chanter. J’adore chanter.

– Mais je ne sais pas chanter. Je ne sais pas du tout chanter (malgré des cours).
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5. Game designer

– Car c’est en moi depuis des années. Je veux raconter des histoires, les dessiner, travailler en groupe et continuer d’aimer le jeu vidéo. Et comme tout critique, au bout d’années à parler de jeu, on veut passer de l’autre côté.

– Mais je ne me sens pas encore prêt. Je tiens tellement à cette aventure que je la veux au bon moment. Jamais, peut-être ?
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6. Franc tireur dans la politique ou la pègre

– Car un univers où les règles changent, c’est très, très excitant. La mort, la trahison, la fidélité, les codes, tout est extrêmement dur dans ces mondes, mais jamais vraiment personnel, tout est orienté vers le résultat, non l’individu. Ca me fascine. Spin Doctor ou tueur, j’ai le choix des armes.

– Mais je suis encore trop tendre, je le sens. Cher Karl Rove, tu attendras encore un peu ton successeur (qui t’étudie déjà).
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7. Champion mythique (le syndrome)

– Car comme tout le monde (surtout Chabert), quand je vois un phénomène du Tennis, un DJ de fou, un as du poker, un progamer, un mutant du surf ou un Zidane, je rêve moi aussi de révolutionner une discipline avec le simple éclat de mon génie rebelle.

– Mais comme dirait Haron, “Bah, pas’d talent.” Ah, c’est balo.
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Passage de patate chaude à vous dans les commentaires, chers glandeurs Aoûtiens, et côté bloggers :
– Caf’ – ouais, je me lasse pas de prendre des vents,
– le gang de Toulon parce qu’il pleut dehors chez vous, non ?
– Marc qui j’en suis sûr va lâcher des scoops,
– Deedee, vu que tu es en plein dedans ma chère,
– sskizo qui doit en avoir des bien gratinés en tête,
– Anh qui rêve d’être un vrai blogger depuis déjà trop longtemps
– et pour faire 7, toi, belle brune que j’ai rencontrée récemment mais que je ne peux pas en dire plus sinon tu vas me griller et que là j’ai déjà les joues toutes rouges rien que d’y penser. Et ça, c’est pas un métier, d’être timide.

Lâm out.