On a beau dire qu’Audrey se répète, je suis toujours aussi bouleversé par ses oeuvres (et j’ai enfin réussi à acheter deux repros, ishiki et odaijini).
Je vais me payer un Frapuccino au Starbucks de Bastille pour la peine. Si je vous y croise, c’est pour moi, c’est comme ça. Vous direz merci à Audrey.
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