J’ai envie de me remonter un Lego. Ca me démange.
Les Legos Technic. Parce que c’était de loin mon jeu favori étant enfant. Que ça m’a aidé à construire, déconstruire, expérimenter, exprimer tout un tas de choses. Que ça m’a permis de comprendre pourquoi je prends souvent plus de plaisir à penser et construire un projet qu’à en jouir par la suite.
Et que le mythe de ce jeu scandinave continue de vibrer à traver le monde : son design dépasse le monde du jeu, il sublime d’autres icones, se marie bien avec la neige, vous fait gagner à Wii Bowling, fait du caméo dans les pubs publiques, s’apprête à concurrencer WoW, mets en valeur les hommes d’affaires, rend – plus ou moins – bien hommage au Beatles, dépasse le clivage dessins animé – pâte à modeler – image de synthèse, serait presque confortable, dépasserait bien la vitesse lumière, et bien sûr, nous donne de meveilleux délires et clips vidéo…
Dois-je en rajouter ?
Bref, depuis le temps que l’envie d’imbriquer des briques et déchiffrer des étapes de notices me démange, j’ai décidé de me lancer. Mais après 2 magasins de jouets, je suis rendré bredouillle : pas ou peu de Lego Technic, la division “grands” de la marque. Un tour sur le site officiel et je suis tombé sur ces merveilles.
Question : lequel je prends ?
Non, je la refais : Vous avez des arguments solides pour m’empêcher d’acheter l’ENORME CAMION QUI DECHIRE ?
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