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Chronique du pique assiette #1

Moi  •   20 années

Voici le retour des chroniques du pique assiettes après nos exploits anodins contés chez titirets… !

Quoi de bon à se mettre sous la dent ce Mardi 9 Novembre ?
– Une soirée Microsoft pour le lancement d’Halo 2
– Une soirée Max pour le lancement de leur calendrier 2005
– Une soirée Levis pour le lancement de leur collection Levi’s Blue
Bilans et quelques photos dans la suite.

Toutes ces réjouissances se chevauchant quelque peu, la fine équipe d’Aligre (Yabi, Haron et moi) avons décidé de nous séparer.
Pendant qu ils allaient au ViP Room (brrrr) matter le boulot de Bettina Rheims pour Max, je m’envolais au dernier étage du toit de la L’Arche de la Défense aller tâter du petit four et du Halo 2 plus grosse production Xbox depuis… Halo premier ? Décor classique (bof), Martin Solveig aux platines (bien), des mercenaires de chez Tony & Guy à votre disposition (bof, on les voit partout), bref, du boulot bien géré mais sans génie.
Côté boisson, du classique mais l’absence de champagne à fait hurler les plus peoples. Les petits fours à base de sushis, légumes roulés et autres samosas ont efficacement rempli leur rôle.
On notera la présence d’un bar à odeurs, Oxybar, qui vous fourrait des effluves dans la bouche, du assez sympa et boisé au carrément Wizard WC. Je doute de la viabilité commerciale d’un tel truc.

“T’as eût de la chance” me répondra Yabi alors que je la rejoint à la soirée Levis à l’hôtel Rotschild – que nous avions déjà fréquenté pour une soirée Chrysler. “Non seulement c’était pourri au ViP pour Max, mais en plus, il n y avait rien à manger”. Pas de chance, on ne mange pas grand chose non plus à la soirée Levis, excepté des gauffres en forme d’étoile… Et de l’Oxybar, décidemment très présent dans les soirées d’entreprises. Mouais.

Soirée beaucoup plus branchouille et chiante que chez Microsoft, dont les mannequins vivants mais figés ont fini de nous refroidir. Il est temps de rentrer à la maison s’empiffrer de riz basmati aux légumes de ratatouille.



L’obybar en action. Oui, ce n’est pas l’euphorie. Ah, le bon temps des opiumeries…



Dis, t’es photographe?
Non.
Ah, tu me prends en photo quand même, j’ai un beau visage, nan?





(…Qu’est-ce que je dois avoir l’air prune là… Ou alors nan. Ou alors pt…)

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