(hires)
Après M. et C., voici une jeune femme anonyme, secrètement immortalisée durant un mariage. J’aurais bien posté toute une série, car les balancements de la demoiselle pendant son discours sur scène étaient très attendrissants.
Le trac sur scène c’est une sensation que je trouve assez grisante. Avant d’entrer, on tremble, on respire mal, on pense trop. Et une fois que l’on entre dans la lumière, on ne pense plus assez, on ne maîtrise pas tout – et ce n’est pas plus mal.
Je rentre pour ma part sur la scène de l’ESWC dans 3 heures. Je vais me matter les chevilles, tiens.
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