C’est étrange. Je ne suis jamais sorti avec une asiatique. Si l’on s’en tient au pur critère ethnique, j’ai fait le tour du monde – et l’impasse sur l’Asie.

//V & Co
En prenant un peu l’arrach’ mon avion pour Paris la semaine dernière, j’ai rencontré une coiffeuse qui terminait la fashion week, V. (pas de censure ici, elle se présente vraiment comme “V”), encore plus à la bourre que moi. Marrante, pimpante, jolie, mi-viet mi-indienne. J’y ai été plus que raisonnablement sensible, même si rien n’a été tenté, c’était plus joli comme cela.
Il n’empêche, depuis quelques temps, je suis sensible aux jolies asiats’.
Peut-être que je trainais dans un no (wo)man’s land depuis 27 ans ou que je me voilais la face, mais non : quand j’y repense, Rosalie, Kim, mademoiselle la NewYorkaise ou certaines membres de l’UJVF sont jolies ET asiatiques, jolies PARCE QUE asiatiques. Et c’est nouveau pour moi, ça.

Car je n’ai jamais trouvé les filles asiatiques attirantes.

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Pourtant, une bonne partie de mes potes aime à fantasmer exclusivement sur ce type de filles et les pin ups du genre deviennent assez légion, entrant même dans le club très fermé des pétasses de clips Rn’B.
L’esthétique asiatique est donc reconnue depuis un certain temps maintenant.

Car bien sûr, des asiats’ mimis, il y en plein : boa, reon, gong, zhang, sung hi (je vous laisse googler tout ça)…
Je ne dis pas que les jolies asiatiques n’existent pas, loin de là. Je dis juste qu’elles ne me touchaient pas comme une belle méditéranéenne par exemple. Pas de pincement dans le coeur, de jambes flagadas, de pupilles dilattés ou de poteau dans la face parce qu’on ne sait plus où on marche.

Bref, je change et peut-être que sans m’en rendre compte, je terminerais marié avec une chouette viet ou une sereine coréenne.
En attendant, mon cousin se marie ce week end avec une polonaise :)

(* désolé pout le titre, il me fallait du potache pour dédramatiser cet infâme confession)