It really never sleeps, indeed.
Hop, de retour sur Paris, parti hier de la Grosse Pomme en plein Rush Hour (80 dollz de tacos, oh oui mon coco) et là paf, me voici au bureau, seul, pas encore éclaté physiquement par la nuit blanche et le décallage.
J’espère ne pas avoir le temps de déprimer un poil, puisque je repars dès lundi à Berlin pour une semaine de dev laFraise avec Guillaume, Mike et Jouni, puis à Varsovie pour le mariage de mon cousin.
En attendant, New York m’a confirmé une chose : Je peux vivre loin de Paris. J’en vois enfin vraiment les défauts, les limites, mais aussi les qualités. Je peux imaginer une étape de ma vie loin de cette ville. Barcelone m’avait fait vaciller, Berlin en avait rajouté et là, j’en suis assez sûr.
Mais là tout de suite, face à moi, la réalité : des mails. Plein. Les styles de vies et de villes, eux ils s’en foutent.
Et sinon :
* Divide 26 est online et j’aime beaucoup certaines soumissions.
* Cette phrase me trotte dans la tête “Tu sais, je n’ai jamais vraiment renoncé à toi“. C’est de Ginny pour Harry, dont le volume 6 est assez brillant.
Allez maintenant, au boulot.
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