Allo. Alloooo. A-llo. Ok 1-2, 1-2. Paris Bordeaux Marseille. C’est bon. Je réentends normalement.
[[Warning de la Brigade de la Mise en Page : ouais, c’est affreux, il va falloir que je trouve des manières de streamer du son sans l’héberger]]
[[Warning de la Brigade Antiproductivité : Oui, nous sommes de retour brièvement pour vous prévenir : ce satané post est bourré de liens, votre mardi de rentrée va en prendre un coup]]
Après 3 jours de soirées et de gros sets me revoici en état normal pour poster quelques images. A tout seigneur tout honneur, débutons avec Body and Soul, la soirée qui à elle seule m’a fait faire le déplacement.
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//Jeudi, Body and Soul, Soul Passage, Ambassade et Patinoire
Et donc, c’était comment ? Joe Clausell est-il toujours le Dieu de la réorchestration par Cut ? Danny Krivit possède-t-il la meilleur collection musicale du monde ? François Kervorkian sait-il toujours parler français ?
Indice (à mettre à fond) :
+ Kem – “Love Calls (Darryl” James Remix)
Réponse : Oui oui oui oui. Mais au lieu d’argumenter à gogo, je vous dirais juste qu’en général, le pic d’une soirée se voit lorsque tout le monde lève les bras.
Voici ce qu’il s’est passé de 15h00 à 23h00 au bord du Rhône.
(hi-res en cliquant sur l’image)
Vraiment superbe. Immense. J’attends de récupérer des vidéos et des liens (c’était blindé d’appareils) pour enrichir le constat.
Mais vous l’aurez compris : Body and Soul est une soirée qui porte pour moi l’essentiel de la Dance au sens propre du terme : un tunnel sonore si sensuel et fort que vous entrez délicatement en transe, Corps et Ame.
Si bien lancée, notre team de parisiens commence à se chauffer en vue de la suite. Sachant que mes compagnons de nuit sont des enfants hystériques, la soirée fût plutôt animée, chaotique et bien marrante.
Etape au Passage Thiaffait puis mini shooting place des Terreaux.
(hi-res en cliquant sur l’image)
Il est temps maintenant de rentrer à l’hôtel engloutir des munitions et se refaire une beauté avant d’attaque la suite de la nuit.
Je vous épargne les 78 autres clichés. Non, vraiment. (hi-res en cliquant sur l’image)
Arriver à diriger, rassembler et surveiller ces grands gamins que sont Jean-Marc, Marie, Emilien, Nathalie, Haron, Noémie et Mariem relève du BAFA spécial cas en réinsertion. Si vous les avez croisé ce week end en soirée, vous comprenez.
Du coup, nous sommes enfin partis pour l’Ambassade, le club censé accueillir une after avec Body and Soul et Jeff Mills. Déception, le lieu, aussi petit qu’un de ces satanés micro clubs parisiens, est blindé, mais sans les interessés.
Nous partons alors pour la Patinoire de la ville, transformée en immense Boom Electro-Disco.
Bon, en fait de Boom, cela ressemblait plus à une immense soirée étudiante où on avait froid aux pieds. Je rentre à l’hôtel, laissant mes petits terribles retourner à l’Ambassade.
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//Vendredi, jolies rencontres et sacrée fatigue
Pocky me rejoint, nous renvoyons les gamins terribles sur Paris et partons bosser dans les locaux de Mageekstore. Le soir, nous allons prendre un verre avec ce qui sera en fait la team du week end.
(hi-res en cliquant sur l’image)
Du 100% lyonnais (parfois d’adoption) avec de gauche à droite :
– Pocky (et une nana bourrée, sa réputation de ladies man doit le précèder)
– B-Rob et sa Citroën C3 sûrement volée à Sébastien Loeb
– Cerise et son humour qui sent la carotte, rattrapé par sa bouille de Princesse.
– Silphi et son appart d’enfoiré (ils ont tous des apparts’ d’enfoiré, dans cette ville)
Dîner chez Silphi et décollage pour l’ancienne usine SLI où Laurent Garnier affronte Agoria. Mais trop fatigué et pas trop dans le trip traveler teufeur, je quitte la scène principale et je m’endors dans une chaise longue, dans la salle de Chill Out qui rediffuse les best of Tracks d’Arte.
Garnier vs Agoria, sûrement très bien.
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Samedi
Réveil tardif, verre au Café Cousu et nous allons nous poser dans un jardin secret pour la Pétanque Electro, l’une des nombreuses “Off” de ces nuits. DJ, enfants, taboulé, cochonets et Soleil, un vrai moment de bonheur.
Balade dans la ville (superbe) puis rdv chez Cerise.
La Princesse des Fruits nous fait à dîner et nous accompagne enfin dans l’usine pour la dernière grosse soirée de ces Nuits. C’est d’ailleurs étrange, mais le line n’a pas grand chose à voir avec Berlin, la ville à l’honneur de cette 6e édition.
(hi-res en cliquant sur l’image)
Cela démarre d’ailleurs avec le toujours magnifique Roy Ayers et son band de malades. La classe de Brooklyn inonde la salle, au départ un peu froide à l’idée d’écouter de la Soul pure souche.
Le vieux les a retournés tout en douceur avec ce genre de titre :
+ Roy Ayers – “Everybody Loves The Sunshine”
Puis débarque Dennis Ferrer qui nous livre un set ultra joueur, débutant carrément sur le “Show Me Love” de Robyn S. Avant d’enchaîner de la Deep très lourde, agrémentée de super hits, comme son Sandcastle n°3 ou Dee Dee Bridgewater.
+ Robyn S. – “Show Me Love”
+ Dennis Ferrer – “Sandcastle n°3”
Cerise : “C’est moi où il pue le sexe ce DJ ?” (hi-res en cliquant sur l’image)
Pour terminer cette soirée, nous allons voir Danger, l’une des coqueluches du moment. La salle est blindée de nénettes et de minets de 18 ans, on se croirait en 2007 au Paris Paris pour un set de Justice, tiens.
Pourtant, le mec assure grave et si son set démarre comme le live de Sidney (d’où est tirée la vidéo en dessous), le reste est inédit et l’habillage visuel super référencé emporte tout le monde. Enorme.
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(hi-res en cliquant sur l’image)
Allez, time to leave, la faim nous vrille le ventre, nous déposons Cerise et allons trouver l’un de ces restaurants ouverts avec le marché : une entrecôte / pommes frites à 6h45 du matin, c’est ça, la vraie vie.
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