Je vois donc quelqu’un en ce moment. C’est chouette, elle est chouette, elle me fait beaucoup rire et elle est turbulente comme pas deux, j’adore. Le temps que nous passons ensemble est vraiment léger et j
Bon bah en fait, non, ça n’a pas marché comme prévu et ça sent le roussi froid. Mon investissement sentimental, il faut que je le réevalue. Et mon rythme de vie, il faut ptet le remettre un peu en question. La vie de grand garçon multi tâches c’est excitant, mais ça prend beaucoup. La question est : ai-je envie de changer, et sous quelle amplitude ?
Elle m’a dit “Je ne veux pas m’attacher à du vent“. Elle a raison, je suis un peu comme un courant d’air qui jamais ne s’arrête. Je butine, je croise, je voyage, je rencontre, je lunch, je délire avec, mais jamais je m’arrête. La dynamique est-elle une drogue ?
La question n’est plus de savoir si je veux me poser, mais si je peux me poser, là, d’un coup.
Ce que je trouve un peu naze de ma part, c’est d’avoir été assez amoureux pour la suivre pendant lontemps, la séduire avec envie et simplicité. Une vision pure. Et là, me voici à faire des calculs pour tenter de gérer les choses avec raison, contre arguments et compromis. Le genre de choses que je pensais avoir fièrement bannis de ma vie. Je me sens un peu minable, du coup.
En attendant, Baïa, la petite chatte que je garde à la maison est en train de chasser une mouche dans la terrasse d’Hiver. J’envie tant de légèreté et de concentration.
(ps : ça sent la note en constante update, les mots viennent de manière sporadique dans mon esprit.)
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