… T’oublies jamais, mais alors jamais. La preuve par moi : Tenez, alors que je sortais du cinéma (ahh, le pti Constantine, tellement bancal qu’il en devient attachant), sur quoi je tombe à la sortie du cinoche, sur QUOI JE TOMBE ?
Sur ça.
Cela pourrait n’être qu’un bête vélo désossé par quelque malotru de la pédale (et c’en est un), mais en fait nan. Car à ce moment du blog, le monde moderne se divise en 2 races :
– Ceux qui connaissent l’histoire
– Ceux qui ne la connaissent pas.
Dans un élan de bonté magnanime, j’offre à la race seconde un cours de rattrapage, histoire de : “Comment je me suis gamellé (ma vie bicycloïdale)”
Bref, après toutes mes mésaventures pas encore finies (mon avocat est censé se fighter en ce moment avec l’assureur de Go-Sport-n’achetez-pas-de-vélo-chez-eux), cela fait vraiement bizarre de voir dans la rue exactement le même modèle de vélo que le mien (un chouette Mongoose tout suspendu), amputé lui aussi de sa roue avant… D’ailleurs, mon vélo à moi dort en ce moment dans la cave de mon immeuble avec son nouveau statut de pièce à conviction en attente d’expertise.
Voici donc mon conseil du jour de circonstance : en vélo, faites un max de roues arrière, ça le fait auprès des filles, il n’y aura plus de roue avant à voler et paradoxalement, vous avez moins de chances de vous éclater la tête. Un grand bonjour au proprio de ce vélo, j’espère que tu me lis, veinard.
Des réactions ?