Deux jours après la Troyes Dimensions et deux jours avant la Nexen 17, mon chez moi ressemble à un lieu de transit.

C’est dérangeant.

Que faire, en attendant le prochain train ? Finir Half-Life 2, dégôter les 8 dernières figurines de Zelda Minish Cap, poutrer du noobie sur des parties publiques de DotA… Ca tient un homme… Un instant. J’ai bien essayé de m’attaquer aux fameux romans de Fred Vargas, l’écrivain policier phénoménal. Mais non, ça ne marche pas.
Allons donc chauffer la carte UGC (vous savez, la seule carte “ciné à volonté” qui justement, annihile toute volonté d’aller au cinéma), histoire de voir une toile bien pourrie comme je les aime, à savoir Coup D’Eclat, une sucrerie à base de Caraïbes et de vol de diamant. Pas de pot, je suis tombé sur un ridicule Vaudeville dont le cambriolage ne vaut guère mieux que celui d’Ocean’s Twelve. Diantre, quand verrais-je enfin un bon film de cambriole ? Heureusement que Salma Hayek sauve le film : la finesse de ses traits, le teint à point de sa peau mordorée, son regard inspiré, la force de ses répliques et sa grâce innée me font dire qu’elle est vraiment une bonnasse intersidérale.

Et dire que je ponderais les pensées la semaine prochaine alors que, fraichement revenu de la Nexen, je me préparerais à filer vers l’Atomic Re-So 2005…

Y-a-t-il une vie entre les LANs ?